Équipes mixtes université - entreprise

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L'université de Bordeaux est impliquée dans plus d'une vingtaine de structures de recherche commune, véritables outils de coopération scientifique et industrielle entre universitaires et entreprises.

Photo : Plus d'une vingtaine de structures de recherche commune existent à l'université © université de Bordeaux
Plus d'une vingtaine de structures de recherche commune existent à l'université © université de Bordeaux

Une Structure de recherche commune université de Bordeaux/entreprise (SRCom) a pour objectif d’alimenter un partenariat de recherche structurant, susceptible d’avoir un effet levier à la fois en termes de production scientifique et d’innovation. 

Son cadre contractuel vise à l’inscrire dans la durée, via la co-construction d’un programme scientifique qui répondra au mieux aux enjeux technologiques exprimés par l’industriel. Des ressources humaines, matérielles et immatérielles sont mises en commun au sein de la structure de recherche commune, qui s’appuie sur une gouvernance partagée entre l’entreprise et les académiques.

Les structures de recherche commune présentent une grande diversité de formats, elles peuvent être :

  • des Unités mixtes de recherche (UMR) dont l’entreprise est tutelle
  • des Laboratoires communs (LabCom)
  • des OpenLabs
  • des Groupements d’intérêt scientifique (GIS)
  • des équipes de recherche commune...

L’Agence nationale de la recherche (ANR) soutient le développement des structures de recherche commune avec les entreprises à travers des appels à projets spécifiques comme le programme LabCom ANR ainsi que le programme Chaire industrielle ANR.

Les Structures de Recherche Commune - SRCom
de l'université de Bordeaux

Les SRCom, dans lesquelles l’université s’engage, respectent plusieurs objectifs : travailler dans un cadre éthique et de confiance avec les industriels, lever des verrous technologiques critiques pour le développement, et créer de la valeur qu’elle soit académique, par la production de résultats publiables dans des revues, ou qu’elle soit technologique, par le dépôt de brevet et si possible le transfert industriel, sans oublier la formation d’étudiants en master ou en doctorat, qui évoluent dans un environnement particulièrement favorable à leur employabilité.

Éric Papon, Chargé de mission filières industrielles et socio-économiques

Bureau SRCom

  • Hélène Imbert

    Responsable du bureau SRCom

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