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Mise à jour le : 10/11/2025
Les défis environnementaux auxquels est confrontée une institution telle que l'université de Bordeaux ne se limitent pas aux émissions de gaz à effet de serre. La préservation des ressources naturelles telles que l'eau et l'approche globale du « cycle de vie » des produits consommés à l'université constituent des piliers essentiels de notre stratégie institutionnelle.
L'université de Bordeaux entend diminuer sa consommation d'eau, et de ce fait le prélèvement d’eau des nappes profondes. L’objectif fixé en 2015 de réduction de 10% de prélèvement dans la nappe profonde a été atteint.
En 2023, l'université de Bordeaux a consommé environ 165 000 m3 d'eau. Le domaine universitaire et le campus de Carreire représentent près de 80% de cette consommation. Les sites de Victoire, Bastide et Mérignac représentent 9% de la consommation globale. Cette eau consommée sur les campus provient de deux sources : un quart provient du château d’eau de 3000m3 installé au cœur du domaine universitaire et géré par le service inter-établissement de gestion du domaine universitaire (SIGDU) et les 75% restants sont fournis par la Régie de l’eau de Bordeaux Métropole.
L’objectif de l’université est de diminuer d’au moins 20% le prélèvement d’eau des nappes profondes d’ici 2028 par rapport à 2014 (224 000 m3).
Afin de réduire ces prélèvements, 3 leviers seront développés :
L’autre objectif est de limiter la contamination des eaux usées :
Acheter moins mais acheter mieux, telle est l'ambition de l'université de Bordeaux pour les années à venir.
Les achats de l’université représentaient 60 millions d’euros et environ 21 000 tCO2eq en 2022 (hors fluides, déchets, construction et rénovation, déplacements). Parmi ces achats on distingue les intrants (achats non amortissables) à hauteur de 52 millions d’euros qui ont un impact carbone important de plus de 16 000 tCO2eq. Certaines immobilisations (achats amortis en raison de leur montant et de leur durée de vie) sont aussi prises en compte ici, il s’agit du matériel informatique et scientifique dont le montant sur 5 ans s’élève à 40 millions d’euros, que l’on ramène à une moyenne de 8 millions d’euros en 2022 et qui ont un impact carbone de près de 5 000 tCO2eq par an.
L’impact carbone n’est pas le seul indicateur à prendre en compte. L’empreinte massique du plastique (soit le volume de plastique utilisé), majoritairement liée à l’utilisation de matériel plastique au sein des unités de recherche, représente un réservoir de micro et nanoparticules qu’il est nécessaire de chercher à diminuer. Par ailleurs, la consommation des ressources et les pollutions induites par la production de l’ensemble des intrants cités est un enjeu essentiel. Le devenir de ces produits après leur utilisation doit également être réfléchi et anticipé.
Afin de réduire l’impact environnemental (carbone, ressources, pollutions) des intrants de l’établissement, deux leviers ont été identifiés :
Réduire le volume de déchets et optimiser le tri sont les priorités de l'établissement.
L’université génère chaque année plus de 900 tonnes de déchets non dangereux.
Des déchets dangereux sont également produits à hauteur de plus de 200 tonnes par an. Ils comprennent à la fois les déchets d’activités de soins à risque infectieux (DASRI), les déchets chimiques, les piles, les déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE), ainsi que les toners d’encre et imprimantes.
Réduire le volume de déchets : projet de recherche pour remplacer le plastique des laboratoires, projet pour développer le réemploi et la réparation
Optimiser et généraliser le tri : évolution du marché de collecte et de traitement en avril 2025, poursuivre le déploiement de filières de tri spécifiques dans les laboratoires